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Présentation

  • : Le blog de CHRISTOPHE BOUTIER, professeur documentaliste au collège de St Germain-des-Fossés, dans l'Allier
  • : Blog qui a pour objectif de parler de la littérature jeunesse, des écrivains jeunesse... pour donner le goût de lire aux adolescents. L'objectif est également d'intéresser à la culture. Il s'agit aussi de faire découvrir cette littérature à part entière aux adultes.
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Le Vampire Du Cdi

  • Le cédéiste
  • Je suis le "VAMPIRE d'un CDI" auvergnat !

ANECDOTES

Pierre BOTTERO,

le Seigneur des ados !

 

Pierre Bottero était fier d’être un auteur jeunesse - une littérature qui n’a rien à envier en qualité à la littérature « vieillesse. » S’il n’était pas qu’un auteur de fantasy, il faut bien reconnaître que c’est à cette littérature de l’Imaginaire qu’il dût son incroyable succès !

Dès l’enfance, il tombait dans la marmite de la fantasy. Il dévorait Tolkien (Un choc ! S’en suivi, plus tard, l’idée que la fantasy ne pouvait s’écrire que sous la forme d’une trilogie), Zelasny, Farmer, Moorcock, Vinge, Howard… Les grands noms qui allaient lui permettre de devenir l’auteur que nous connaissons. Plus tard, il appréciera les auteurs « jeunesse » tels que Erik L’homme, Hervé Jubert, Fabrice Colin ou Philip Pullman, Eoin Colfer pour ne citer qu’eux. Il n’y a pas de concurrence en littérature jeunesse, les auteurs s’apprécient, se côtoient, se téléphonent, se rencontrent, se parlent, rêvent ensemble d’histoires communes. Ainsi Erik L’Homme et Pierre imaginaient ensemble, « A comme assassins »…

De ses lectures, Pierre Bottero ne devait pas ressortir indemne.

C’est par hasard qu’il se lançait dans l’écriture, pour aider sa fille qui séchait devant un concours d'écriture : il rédigeait quelques pages sur son ordinateur, se piquait au jeu, poursuivait (son épouse réclamait la suite), envoyait le texte à un éditeur qui le publiait... Il était dit qu’il n’arrêterait plu. Marqué à tout jamais par Tolkien, il était évident qu’un jour, il s’essaierait à la fantasy. C’est ainsi que naquirent « La quête d’Ewilan », « Les mondes d’Ewilan » et « Le pacte des Machombres. »

 

 

 

Pierre Bottero se fichait éperdument du cadre dans lequel on allait placer ses romans. Mais pour les « techniciens, l’auteur lui-même évoquait la Low Fantasy. Il s’agit d’une low fantasy - inspirée par ses jeux d'enfant, ses rêves d'adulte, ses lectures et les émotions ressenties au quotidien - dans laquelle existe un équilibre entre le bien et le mal, le courage, la volonté et la détermination où domine le désir de tout ramener à des intérêts individuels (égoïsme forcené, aveuglement quant à la mise en danger des équilibres…). Un parallèle pourrait d’ailleurs être établi entre le chaos décrit et notre monde réel. Mais attention. Les propos de Pierre ne demeurent pas sombres, ils restent optimistes. Pour avancer ! Avec pour personnages principaux des… femmes. Pierre était fondamentalement féministe. Il aimait à dire qu’il y avait moins de « cons » chez elles que chez les hommes. Toutefois, Pierer Bottero n’a jamais cherché à donner des leçons, il se méfiait trop pour cela des « transmetteurs » de valeurs et des donneurs de leçons. Le livre était pour lui un objet de partage.

Ce partage, il l’avait avec sa famille qui appréciait ce qu’il écrivait et qui le rassurait : Claudine, son épouse, ses deux filles lisaient ce qu’il écrivait avant publication.

 

 

 

Lorsque Pierre Bottero était invité dans un salon du livre pour une dédicace, il faisait partie des auteurs les plus demandés (il ne faisait pas bon signer à côté de lui !) : les impressionnantes files d’attentes composées de lecteurs (jeunes et moins… jeunes !) en témoignaient. C’est avec émotion qu’ils recevaient tous les messages de sympathie et… d’amour. Ses livres touchaient, ses histoires permettaient le partage et faisaient rêver, Pierre vivait alors une aventure … magique.

Il avait beau affolé le compteur des ventes, ce qui avait un réel impact sur lui, c’était :  de percevoir la flamme dans les yeux de ses « fans » (euh ! il n’aimait pas le mot), de recevoir leurs avis, de parler avec eux.

Tant d’amour le gonflait à bloc et lui transmettait une énergie positive.

C’est pourquoi, ce succès (qui lui permit d’abandonner son métier d’instituteur) qu’il percevait intensément, à la fois avec bonheur (évidemment !) et tranquillité, lui donnait également un sentiment de responsabilité. Ainsi, s’il savait se montrer reconnaissant envers ceux qui l’avaient aidé à améliorer son écriture (Caroline Westberg, son éditrice chez Rageot), il avait également de la considération pour ce public à qui il devait tant. Quand vous rencontriez Pierre, assis derrière sa table de dédicace, vous aviez le sentiment qu’il n’attendait que vous ! Pierre veillait soigneusement à être proche de son « public », un de ses… bonheurs. Il respectait humainement ses visiteurs et ses lecteurs en leur offrant des histoires dont il voulait qu’elles évitent facilité et démagogie. Il apportait ainsi beaucoup de soin et d’exigences aux corrections, un travail exigeant, vorace en temps et en énergie.

 

L’écriture de Pierre Bottero avec « Le pacte des marchombres » avait atteint une belle maturité. C’est ce que Pierre lui-même soulignait quand il affirmait que « c’est en écrivant qu’on apprend à écrire. » En effet, cette dernière trilogie qui met en scène le personnage d’Ellana est moins légère, plus complexe, que celle de « La quête d’Ewilan » : l’auteur avait eu le sentiment d’avoir grandi, évolué et de s’être trouvé, un sentiment accompagné par le désir de partager encore davantage avec le lecteur. Pierre Bottero était un homme intègre, voilà pourquoi il continue d’être autant aimé. A la lecture de ses trilogies, cette sincérité transpire. Pierre prenait un immense plaisir à écrire, à « rêver », à imaginer le monde (issu d’un vieux rêve de liberté absolue) d’Ewilan, d'Ellana. Il prenait un immense plaisir lorsque d’autres que lui se baladaient dans "ses" mondes. Pierre Bottero écrivait pour être lu mais aussi pour explorer des contrées inconnues (se connaître lui-même ?) et entraîner à sa suite tous ceux qui étaient tentés par l'aventure... Quand il mettait le point final, c’était à la fois une joie (celle d’avoir terminée et d’être satisfait du résultat) et une déchirure (celle de quitter l’univers crée)… Un sentiment d'être coupé d'une part de soi-même avec l’irrésistible envie de replonger très vite.

 

Pierre le « poète » accordait beaucoup d’importance au travail de réflexion qui précède l’écriture. Lorsqu’il attaquait le premier chapitre d’un roman, la trame générale était dans son esprit, il connaissait très bien ses personnages. Ensuite, plongé dans le cœur du roman, il écrivait sans arrêt, du matin au soir, parfois pendant la nuit. Puis, il pouvait ne plus écrire pendant des semaines Enfin, presque car il écrivait toujours… dans sa tête. Quand il n’écrivait pas, il écrivait sans écrire. Pierre était un homme normal qui aimait lire, courir, menuiser, bucheronner, voyager, rencontrer, parler, rêver… et sourire ! Ah, ce sourire !I

L’écriture de Pierre était une écriture « vraie », sans complaisance, une écriture qui venait des tripes, un cadeau offert au lecteur. Il n’était satisfait que si les mots qu’il employait correspondaient réellement à ce qu’il souhaitait écrire. Cette honnêteté, il la devait à ses lecteurs. Pierre était un travailleur qui reprenait, sans cesse, son récit, la cohérence, le fond, la forme… C’est pourquoi il prenait grand soin, malgré les pressions des lecteurs, de ne pas chercher à publier, à tout prix, trop rapidement. Il était persuadé qu’il valait mieux patienter et faire patienter plutôt que de se décevoir et décevoir. Il pendait qu’il fallait laisser le temps à l’histoire de pousser, à son rythme...

 

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   "Le Loup à la voix de miel"
Marc SEASSAU (Grasset jeunesse)

J’ai fait venir dans le collège où je travaillais alors, l’écrivain Marc Séassau.  La journée fut belle et pleine d’émotion notamment lorsque Marc anima une rencontre à deux voix (j’adore organiser ce genre de rencontres : 2 auteurs face à une classe en même temps !) avec Jean-Côme NOGUES qu’il avait adoré lire lorsqu’il était ado.

Marc Séassau a écrit ce roman « Le loup à la voix de miel » parce qu’il a été marqué par sa convocation comme juré dans une affaire de viol. Dans son récit, il narre l’entrée en 6ème d’une petite fille qui, anonymement, dépose des extraits de « Peau d’âne » dans les poches, de sa « marraine », une élève de 3ème.  L’appel au secours était évident !

Cette rencontre a déclenché un phénomène pour le moins inattendu dont j'ai été le témoin, involontaire : il m'a fallu trois semaines pour comprendre ce qui m’arrivais !

Je trouvais régulièrement par terre, dans le CDI, toujours disposées par deux, des photos représentants des scènes classiques de la vie d'une famille avec une de nos élèves de 6ème (anniversaires...). J'ai évidemment rendu ces photos à l'élève qui, agressive, semblait ne pas comprendre pourquoi je détenais son bien. C'est tout juste si elle acceptait de reconnaître qu'il s'agissait d'elle sur les clichés ! Ces scènes se sont régulièrement reproduites ( trois, quatre fois pendant trois semaines) jusqu'au jour où j'ai eu un déclic  : une seule photo sur le sol évoquant la petite sur les genoux d'un homme. J'ai de suite compris (Peau d’âne !), j'ai alerté l'infirmière, la Principale du collège... Cette élève avait eu l’idée de reproduire ce que l’héroïne du roman faisait.
Voilà ce qu'uns simple rencontre d'écrivain peut entraîner en dehors du plaisir de lire.
Le roman avait libéré la parole de l’élève !


Nous en avons évidemment parlé avec Marc Séassau qui était évidemment KO : comment ne pas l'être ? Il avait écrit ce roman un peu dans un but pédagogique mais quand la réalité dépasse la fiction...

Recherche

PERLES de LECTURE

 Le collège de Gannat

 a voyagé dans le temps !

 

 Après la lecture des romans historiques jeunesse de Béatrice Nicodème....

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« Oyez ! Oyez gente dames et damoiseaux ! Entrez dans le Moyen Age ! » Ainsi s’est écrié le troubadour, jeudi 9 juin 2011, dans la plaine gannatoise : deux cent élèves de 5ème du collège Hennequin et CM2 des écoles du Malcourlet, de Pasteur et de Jean Jaurès ont bravement et « prestement » effectué le « pas sur le côté » pour revêtir leur cotte de maille et ainsi plonger en plein XIVème siècle.

  

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  Pour rendre vivant et attractif le Moyen Age, période étudiée en classe et encore largement visible dans la cité des portes occitanes, Gannat, douze comédiens et cascadeurs professionnels de la compagnie toulousaine ARMUTAN, ont chevauché leurs destriers pour répondre à l’olifant de Christophe Boutier, professeur documentaliste, initiateur de cet imposant projet, « Cultures, loisirs et genres de vie au Moyen Age », un projet fédérateur d’énergie d’une année.

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Un campement faits de plusieurs tentes, de peaux de bêtes, de râteliers d’armes, de tonneaux… a été établi dans la partie herbeuse et arborée de l’établissement scolaire. Les écuyers – élèves, aux yeux brillant de plaisir, répartis en six « compagnies » de « routiers » qui répondaient au nom d’un  célèbre homme de guerre, du Guesclin, Prince noir ou bien d’un roi, Philippe Auguste…ont défilé avec leurs bannières dans les sept ateliers pédagogiques pendant six heures.  Ainsi, ils ont été initiés à l’archerie, au maniement des armes, au combat rapproché, à l’héraldique – l’art de faire son blason – à la danse, aux instruments et à la musique, à la jonglerie… Le capitaine « Barbepeste » et ses sbires ont alors conquis la « piétaille » qui après explications et démonstrations, devait mettre en pratique l’enseignement de leurs maîtres…  

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 Les corps fatigués furent réparés par le succulent banquet médiéval régional (tortillons gannatois, galichons d’Escurolles, fromages de chèvres de Bellenaves, Fraises bourbonnaises sur lit de fromage blanc de campagne de Cérilly étaient inscrits sur le très beau papier imprimé à l’ancienne par le moulin Richard de Bas ), pris en musique, et proposé par le chef, Sylvain Bruno. Une projection d’images, capturées dans la matinée, proposées par les élèves de l’atelier image du collège lors du repas, a également ravi les convives.

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En fin d'après-midi, les petits occitans, tout sourire, étaient regroupés pour assister à un spectacle de jongleries burlesques proposées par « Grand mètres Yann »,  à de la poésie lyrique, et à une impressionnante saynète de combats à l’épée accompagnée par la musique du groupe DAYAZELL.

 

Quel bonheur ! Quelle joie d'avoir vu les yeux des enfants pétiller de plaisir ! Quel  moment de vie ! Il ne fait aucun doute que cette journée unanimement saluée comme étant extraordinaire restera gravée dans les mémoires.

  351.JPG Alors, un grand MERCI à tous ceux qui ont participé à la réussite du projet ! Les personnels du collège Hennequin, la mairie de Gannat, les mécènes, les comédiens si sympathiques et bien sûr…les élèves !

 

Pour en savoir davantage :

 

RV sur le blog du collège de Gannat (03),

une 100e de photos...

 

http://cdi.gannat.over-blog.com/

 

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A propos de ce blog !

 

Lu dans « La nouvelle encyclopédie des filles 2011 » de Sonia Feertchak ((Plon)

 

« Le blog passionné et passionnant d’un professeur documentaliste  fou de littérature jeunesse, pour « sourire, rêver, aimer ». Des articles vivants sur la lecture, qui donnent envie de découvrir plein de livres et autant d’auteurs

 

 

-------------------                                                      

A lire, vraiment !




 

 

 

 

 

 

 

 

   

A travers de nombreuses anecdotes Christian Grenier évoque son enfance placée sous le signe du théâtre et de la lecture, son adolescence marquée par l'écriture et la passion. Il relate son parcours d'enseignant, d'auteur mais aussi de lecteur-correcteur, journaliste, scénariste et directeur de collection. Il se penche également sur les mécanismes intimes de l'imaginaire, détaille la genèse de ses oeuvres et fait pénétrer le lecteur dans les coulisses de l'écriture et de l'édition. Enfin il s'interroge sur les principes qui font d'une fiction un récit pour la jeunesse. Regorgeant de confessions, de convictions et de passion, ce témoignage d'une vie consacrée à la littérature jeunesse se lit comme un roman.
 

Archives

Le MOT du JOUR : ......

    "Des millions de gens vivent sans lire, mais ce qu'ils ignorent,

c'est qu'on vit infiniment plus en lisant."

Xavier-Laurent PETIT

  

     318 042 visiteurs 

Je vous livre l'adresse du blog de mon nouveau cdi et collège : http://colllafontaine.over-blog.com/

 

depuis octobre 2009

 

 

20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 15:57


Au salon du livre jeunesse de GANNAT....

Les élèves qui devaient rencontrer des écrivains pour la jeunesse devaient réaliser des affiches de format A3 pour représenter :
- les personnages des romans lus
- les lieux

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Arthur TENOR entouré du travail de ses lecteurs de Gannat.

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Derrière Arthur TENOR, les principaux personnages de "L'elfe au dragon" (Kendhil, le dragon Karlo, les maraudeurs, les Sentinelles...) avec leur représentation, leur portrait moral et physique.

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Ici le stand de Béatrice BOTTET tenu par une bénévole.
En arrière plan, l'exposition d'affiches personnages (Zeus, Héraklés...) réalisées, à partir du roman "Du Riffifi pour Héraklés", par les élèves de 6ème du collège de Gannat. Ceux qui ont de bons yeux, lirons les affiches slogans, les 1ères decouvertures...

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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 15:22

Le salon du livre jeunesse de Gannat fut l'occasion de nombreuses animations.
Ainsi....

Roger WIDENLOCHER  - que Greg a désigné comme son successeur pour "Achille Talon" et papa de "Nabuchodinosaure" :

Enfants 1 253

Les lectures à voix haute...

Enfants 1 261




sans parler des conférences et....
 

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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 14:36

Enfants 1 244

Lors du 2ème salon du livre jeunesse de Gannat, de nombreux ateliers et animations
proposés aux enfants ont rythmé le week-end :

-       démonstration de reproduction de gravures en taille douce,

-    calligraphie à la plume

-       fabrication de papier,

-       fresque,

-       contes et lectures…

 

Plusieurs conférences ont également été programmées le samedi et le dimanche à 15h.

-       La première de Thomas Houtteville, explorateur, sur les carnets de voyages,

-       Une deuxième par le paléontologue François Escuillié, sur les premiers hommes.

-       Une autre sur les fées et les sorcières par Béatrice Bottet.

 

Quelques photos :

La fameuse grotte préhistorique dans laquelle on aperçoit les fresques.


L'entrée de la grotte

 

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Les fresques

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Enfants 1 249Enfants 1 250



Balade dans la grotte.
A la découverte....











Peintures et dessins sur fresque.

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Détails

Enfants 1 266
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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 11:02

Le salon du livre pour la jeunesse de Gannat met l’accent sur la convivialité ; c’est pourquoi, il n’est pas question d’inviter une pléiade d’auteurs : une douzaine suffit. Ainsi, les organisateurs ont tout loisir de les « choyer » et le public à lui le temps d'installer une discussion de qualité avec les artistes sans pour cela être bousculé, pressé par la foule.

Quelques uns des auteurs présents.

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Non, Xavier Bascour ne s'est pas endormi ! Il dédicace et il a arboré pour l'occasion une magnifique tenue médiévale.

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Xavier devant son superbe stand.

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Arthur Ténor, choisit consciencieusement la couleur du crayon qui va l'aider à dédicacer son roman pour la demoiselle. Derrière lui, les principaux personnages de "L'elfe au dragon" (Kendhil, le dragon Karlo, les maraudeurs, les Sentinelles...)avec leur représentation, leur portrait moral et physique.

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Pas de chance, j'ai raté Béatrice Bottet : elle a dû repartir pour Paris. Ici son stand tenu apr une bénévole, avec en arrière plan, l'exposition d'affiches personnages (Zeus, Héraklés...) réalisées, à partir du roman "Du Riffifi pour Héraklés", par les élèves de 6ème du collège de Gannat. Ceux qui ont de bons yeux, lirons les affiches slogans, les 1ères decouvertures...

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L'illustrateur Eric Tournaire a quitté Marseilles pour découvrir la qualité de vie en Auvergne. Né a Casablanca, cet amoureux de l'Afrique est venu dessiner dans le calme de la campagne vichyssoise.

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Deux joyeux lurons mais... sérieux.
Les illustrateurs en plein action, Patrick Goulesque et Roger Widenlocher .

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 18:22

Le salon du livre Jeunesse de GANNAT

VIDEO
 réalisée par TV net 03 de Richard MORIER sur l'édition 2009

http://litterature.jeunesse.over-blog.com/ext/http://www.vimeo.com/6924785


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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 16:54

Enfants 1 222
Un  vrai ours des cavernes.... grandeur nature au salon du livre pour la la jeunesse de Gannat!

Le dinosaure est la toile de fond du salon 
(2ème édition, février 2010),
« DINO FABULO ».


Des auteurs jeunesse, des illustrateurs ont donc été invités en conséquence.

Pourquoi le dinosaure ?

Un squelette le plus complet de rhinocéros fut découvert en 1993 à Gannat et d'importants fossiles furent mis au jour par le paléontologue François Escuillié (notamment découvreur d'un ancêtre de l'éléphant). Ce dernier fut également à l'origine de la création de l'association Rhinopolis en 1994 et fondateur de Eldonia, société entre autres spécialisée dans la rénovation de fossiles qui a prêtée les squelettes dont les photos suivent ci-dessous.

François Escuillié a animé plusieurs discussions autour des dinosaures lors de ces deuxEnfants 1 243 journées dédiées au livre jeunesse.

 
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Le  tricératops grandeur nature


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Le rhinocéros laineux


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La lignée des Hominidés.
Reconstitution (moulage) des 1ers hommes

Salut, toi !

Enfants 1 239

Toujours, notre ours.

Enfants 1 224

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 10:45

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Le salon du livre pour la jeunesse de Gannat, DINO FABULO (à Gannat des découvertes de dinosaures ont eu lieu ce qui explique un tel nom et la thématique), est né en 2009, de la volonté de Lucie HILLEN, vétérinaire, membre du Rotary Club, qui a parlé de son projet à Françoise PORTE, bibliothécaire à la médiathèque de la ville de Gannat, laquelle a de suite adhéré.

 
Dès lors, le Rotary Club, la municipalité et la société Eldonia s'associaient pour lancer un événement familial et d'une très grande convivialité, à hauteur de 10 000 €.

 
L'idée était de bâtir un salon dans lequel les enfants sont actifs et acteurs : ils peuvent ainsi participer à de nombreux ateliers (calligraphies, logiciel de création en 3D, bourses aux livres, films…) que ce soit avec leurs enseignants, leurs classes ou le week end, avec leurs parents : encadrés par des animatrices, ils peignent, dessinent sur une grotte... Ils écoutent le son de la voix du conteur.

 

Ici, pas question non plus de multiplier le nombre des auteurs ou des illustrateurs, il s'agit avant tout de proposer des rencontres à taille humaine pour que le public ait le temps de profiter de chaque artiste, puisse entamer de réelles discussions avec lui ou achète, s’il le souhaite, ses romans...

 

Des animations gratuites sont aussi proposées au public :

·        des conférences pour s’enrichir : Béatrice Bottet a évoqué les Fées…

·        François Escuillé - le paléontologue local, à l’origine du musée Rhinopolis de Gannat était présent en 2010. Quel succès de que celui de ses dinosaures, grandeur nature !

 


De l'avis de tous, des écrivains, du public, le salon du livre jeunesse de Gannat est vraiment un très beau salon du livre jeunesse !

Sur la photo, de gauche à droite :

Lucie Hillen serrant la patte d'un véritable ours des cavernes, Marc Leterme actuel président du Rotary Club, Françoise Porte.

 

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 10:38

Enfants 1 255
Photo : Xavier BASCOUR au salon du livre de Gannat.


La
lecture est une nécessité dans le monde moderne.

Elle permet de maîtriser la langue, d’étendre son vocabulaire, de développer son imaginaire, de structurer sa pensée, d’accéder au savoir et d’ouvrir son esprit au monde qui nous entoure. Parents et enseignants se lamentent lorsque les enfants ne lisent pas et les ados encore moins. Pourtant, ils peuvent lire, si seulement on leur en donne le goût.

 

Le salon du livre pour la jeunesse de Gannat fut donc une formidable opportunité pour la dite jeunesse de découvrir, une journée durant, de véritables écrivains… « vivants. »

 

Soutenu par mes collègues, professeurs de français du collège Joseph Hennequin, Anne Brégliano et Marie-Hélène Gouérand, je me suis ainsi appuyé sur l’événement pour préparer, pendant plusieurs mois, quatre classes de 6ème.

 

·         Quelle ne fut pas notre malheur que de voir la neige arriver et tomber à gros, gros flocons ! De devoir sortir du fossé l’écrivain Xavier Bascour…Et de découvrir, le jour de la rencontre, qu’il n’y avait pas d’élèves ou si peu : 25 sur 425 habituellement ! Dont 7 sur la centaine de 6ème qui devaient rencontrer un auteur (SIC !). A leur décharge, paraît-il que les média avaient donné l’information erronée comme quoi le Préfet de l’Allier avait ordonné la fermeture des établissements scolaires…

Les profs, EUX, étaient là, certains venant pourtant de très loin.. Pour ma part, j’avais pris soin de rester couché pas bien loin du collège pour être sûr d’être présent le jour des rencontres.

Avec les collègues, nous avons donc « vidé » le collège pour conduire les 25 courageux à la médiathèque de Gannat, là où devait avoir lieu la manifestation.

 

Le régional de l’étape, Arthur Ténor, « explorateur de l’imaginaire », ouvrait le bal des rencontres avec son roman de fantasy, « L’elfe au dragon » suivi par la parisienne Béatrice Bottet, écrivaine spécialisée dans la mythologie (« Riffifi pour Héraklés ») et le roman historique mâtiné de fantastique.

En nous appuyant sur d’excellents livres pour la jeunesse, nous avons cherché à éveiller la curiosité, à donner le sens de l’écrit et du… plaisir.

 

Pendant le temps de la préparation, de très nombreux ateliers furent proposés aux élèves. Le sens créatif de ceux-ci fut mis à rude épreuve :

-       ils - enfin, les enfants présent - présentèrent les affiches slogans sur les livres lus qu’avaient réalisé leurs camarades de 6ème,

-       les affiches avec la représentation, le portrait moral et physique des différents personnages…

-       J’avais également mené des « marathons d’écriture » qui ont permis aux jeunes gens d’imaginer, d’écrire et de jouer des saynètes théâtrales dans lesquelles Arthur Ténor et Béatrice Bottet ont gentiment accepté  - malgré la surprise - d’interpréter leur propre rôle.

-       A travers les questions, les mots des auteurs, tous ont découvert qu’écrire était un vrai métier et ont pu pénétrer dans les arcanes de l’imagination qui se sont subitement ouvertes à eux…

 

Quelle richesse que cette journée placée sous le signe de la découverte !

 

L’écrivain-conteur-photographe cévenol, Xavier Bascours, animait un atelier dans lequel les enfants furent initiés et éblouis par un logiciel permettant de créer des personnages en 3D ainsi que par la manière de dessiner manuellement, elfes et dragons, créatures des mondes imaginaires.

 

D’autres ateliers mirent également en joie les 6ème comme par exemple, celui de la calligraphie à la plume ou le film sur l’évolution de l’Homme

 

Et qu’elle ne fut pas notre récompense lorsqu’une élève manifestait le violent désir de rentrer chez elle rapidement  pour se mettre à son bureau afin... d’écrire !

 

Merci au salon du livre pour la jeunesse de Gannat ! Merci à Lucie, Françoise et à Marc !

 

 

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 10:19

Quel est le livre que tu as écrit pour lequel tu gardes une affection particulière ?


Sans hésitation «  Une vie à tout prix », parce qu’il a un rapport très spécial avec ma vie ordinaire.

 

Combien écris-tu de livres par an ? Est-il facile de vivre de sa plume ? Exerces-tu un autre métier ?


Selon les années, j’ai écrit entre 1 et 6/7 textes par an. Mais écrire n’est pas publier, encore moins gagner de l’argent. Certaines années, les droits d’auteur ne m’auraient pas permis de faire vivre ma famille plus de 15 jours. D’autres années ont été très belles et je me suis interrogé sur l’opportunité de consacrer tout mon temps à l’écriture.

Je n’ai jamais voulu abandonner mon métier d’enseignant, d’abord parce qu’il me passionnait, mais surtout parce que je me connais bien et que la hantise d’une fin de mois ne permettant pas à ma famille d’avoir une vie normale m’aurait complètement bloqué. Consacrer tout mon temps à l’écriture, donc à en vivre, c’était pour moi la certitude de ne plus rien écrire et de me payer des crises d’angoisse terribles.

Aujourd’hui, je suis enseignant retraité, ce qui est une position très confortable parce que je n’ai pas à me soucier des fins de mois et j’ai 100 % de mon temps pour l’écriture. Du coup, je me sens très libre d’écrire ce que je veux (même si je m’engage dans une histoire impubliable) et j’écris avec facilité.

 

 

Comment s’opère la collaboration avec ton éditeur au niveau de la correction des textes ? Un auteur libre, cela existe-t-il ?


En 30 ans, j’ai connu des situations très diverses, allant de l’absence totale de remarques qui laisse penser que le texte est publié sans être lu, au titillement agaçant voire insupportable qui consiste pour l’éditeur à exiger de l’auteur qu’il remplace le mot « joli » par « beau ». Une façon peut-être de le faire plier pour affirmer sa première place dans la hiérarchie.

J’ai travaillé avec plusieurs éditeurs qui, par contre, m’ont fait avancer (dont Caroline Westberg chez Rageot) en me poussant à retravailler certains passages parce qu’ils sentaient que j’étais porteur de choses qui n’étaient pas encore sorties. Avec le recul, j’ai le sentiment qu’ils m’ont aidé à « accoucher » plus complètement.

 

 

 

 

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 10:16


L’édition est guidée par les valeurs de son temps.

-       Jusque dans les années 1970, la vision éducative prime dans l’édition pour la jeunesse.


Exemple : la série d’albums «Martine» (années 50).

Chaque bêtise lui fait prendre conscience de sa faute, elle énonce elle-même la morale en se promettant de ne plus recommencer.



-      
Années 60 : la contestation modifie cette vision. On veut « offrir « » le monde aux enfants : leur capacité d’ouverture d’esprit est prise en compte.

Observation de l’environnement social de l’enfant souvent.

-       Années 90 et aujourd’hui : le courant de pensée éducatif et moralisateur reprend le dessus.

           De plus est apparue l’inquiétude parentale.

Savoir lire est devenu une injonction très forte. Question des parents qui influence la production de littérature jeunesse : «Que peuvent-ils lire pour faire des progrès à l’école ?».

Photo : http://www.uopc.eu/images/rabier.gif

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POURQUOI ce BLOG ?

 Le BLOG consacré
aux AUTEURS,
à la LITTERATURE JEUNESSE
et à L'ECRITURE
.

Enfants 1 199La lecture est une nécessité dans le monde moderne. Elle permet de maîtriser la langue, de développer l’imaginaire, de structurer la pensée, d’accéder au savoir, d'acquérir du vocabulaire... C’est pourquoi parents et enseignants se lamentent lorsque les enfants ne lisent pas et les ados encore moins. Pourtant, ils prendront PLAISIR à lire... pur cela, il suffit de les juindécembre2010 225aider à ouvrir la porte.

 

 

 

 

 

 

  

 

 

  

 

 Avec ce blog, j'aimerais :
 * faire découvrir la littérature jeunesse,l'écriture et les auteurs pour la jeunesse
partager une passion et pourquoi pas donner envie de lire et de rêver entre les pages.  

juindécembre2010 260Le livre est une véritable source de plaisir, de joie et d'émotion. Beaucoup d’élèves disent ne pas aimer lire. Je ne suis pas loin de penser que TOUS aiment lire, sans exception ! Le plus difficile pour eux est de parvenir à trouver dans la masse, LE livre, celui qui ne va pas les endormir… juindécembre2010 227LE LIVRE, celui qui va leur "parler", le livre qui leur correspond, le livre qui va leur remuer les tripes, les boyaux, les neurones, la tête !!!  

Enfants 1 178-copie-1Personne n'aime lire toutes les histoires, tous les livres. Evidemment. Il existe donc des "critères" à appliquer pour trouver et emprunter la perle, le livre qui va faire définitivement plonger dans le plaisir de lire !

Dans le livre on fait de merveilleuses rencontres, on découvre plein d'amis, on voyage, on s'ouvre sur le monde, on vit des aventures que l'on ne connaîtra jamais dans la vie de tous les jours : on embrasse des princesses, on escalade des rochers, on "zigouille" les méchants, on galope sur des chevaux lancés à la poursuite de terribles bandits ... bref, on fait de fabuleux voyages pour... "sourire, rêver et aimer" (Lisez "Le type" de Philippe Barbeau.) !!

Enfants 1 258Dans ce blog, il sera question des hommes et des femmes qui écrivent : les écrivains pour la jeunesse. Les ouvrages de littérature jeunesse de qualité seront présentés, racontés, "décortiqués"...
Vous lirez des interviews de professionnels, vous découvrirez des portraits, le monde de la chaîne du livre (éditeurs, imprimeurs, libraires...), vous trouverez également des conseils, vous ferez des rencontres, participerez à des débats, vous lirez des expériences d'animations pédagogiques autour des livres, vous découvrirez des "paroles" d'élèves, d'enseignants, des textes et.... plein d'autres choses encore !

juindécembre2010 224

 Brigitte Coppin 015
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    "Les gens qui aiment lire sont rarement des salauds !"
Xavier-Laurent PETIT
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  SPECTACLES

   

  "Salomon, vous vous rendez-compte ?"

de Christophe Boutier

 

spectacle radeau 010 

 

Sa majesté des couches"

de Christophe Boutier  

 

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  Une comédie en V actes écrite et mise en scène par Christophe Boutier

L’histoire de la séduction, de l’enfant et de sa famille depuis la préhistoire jusqu’à l’enfant-roi du XXIème siècle.

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Sur scène, il y avait :

- 14 comédiens 

- Six musiciens professionnels dont Michel Léger, accompagnateur de vedettes de la chanson et du cabaret, telles que La Bande à Basile, Daniel Guichard, Zanini, Jean Constantin, André Aubert (Don Patillo)...

- la chorale du collège de Xavier Bélanger (professeur d'éducation musicale qui a mis en musique le spectacle) qui a interprété des chansons de variété en rapport avec l'enfance.

- des projections murales assurées par les élèves de l'option image (Eddy Dabrigeon...) du collège, option dirigée par Cécile Cotten,  professeur d’Arts plastiques.

  19.JPG 20.JPG

 

Les spectacles précédents

 

2013- Le temps du maquis"

2012 - "Salomon, vous vous rendez compte ?"

2011 - "Sa majesté des couches"(Gannat)

2010 - "Hommes-Femmes, nos amis les bêtes"  : 2ème épisode (Gannat)

2010 - "Un zèbre sur la banquise" (Gannat)

2009 - "Hommes-Femmes, nos amis les bêtes " : 1er épisode (Lapalisse)

2008 - "La farce vaudevillesquement tragique de la chambre forte du jugement dernier. " (Lapalisse)

2007 - "Le terrier zeixcoussois en Zinzinmouli ou la complainte des comédiens en danger" (Saint- Prix)

 ------------------------------------------------------------

 

    Un grand MERCI donc à tous les écrivains jeunesse
 que j'épuise et à qui je donne mal à la tête !!!
Ah ! Ah !!

Enfants 1 224Christian Grenier, Eric Boisset, Alain Grousset, Alain Surget, Béatrice Nicodème, Anne-Marie Desplat-Duc, Susie Morgenstern, Arthur Ténor, Hubert Ben Kemoun, Jean-Côme Noguès, Marc Séassau, Fabrice Colin,  Lorris Murail, Roger Judenne, Philippe Barbeau, Anne Ferrier, Evelyne Brisou-Pellen, Eric Sanvoisin, Christophe Léon, Jean-Luc Luciani, Béatrice Egémar, Magali Herbert, Guy Jimenes, Jean-Claude Mourlevat, Raymond Perrin, Jean-Baptiste Evette, Marc Cantin, Claire Gratias, Christophe Miraucourt, Xavier Bascour, François Librini, René Gouichoux, Yaël Hassan, Jean-Marc Ligny, Marie-Aude Murail, Cécile Roumiguière, Brigitte Coppin, Dorothée Piatek, Sophie Audouin-Mamikonian, Fanny Joly, Johan Héliot, Jack Chaboud, Jean-Luc Marcastel, Stéphane Daniel, Emmanuelle et Benoît de Saint Chamas, Jean-Paul Gourévitch, Michèle Laframboise., Florence Hinckel, Christophe Loupy, Lénia Major, Viviane Koenig, Marie Mélisou..

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... évoque le BLOG sur la littérature jeunesse.

 

"Des conseils pratiques de pro à pro, des interviews délicieuses et des
articles écrits par des écrivains ou des éditeurs, des bibliographies,
des réflexions sur la littérature jeunesse, des coups de coeur et
 des anecdotes...On trouvera tout cela (!) sur le blog de C
hristophe
Boutier, professeur documentaliste  au collège de Gannat (Allier).

Les petits articles de réflexion sur certains aspects de la littérature
jeunesse sont parmi les plus intéressants, d'autant plus qu'ils soulèvent
parfois des points souvent peu vus : les genres relevant de l'imaginaire
et les critères de classification (science fiction, fantasy...), les styles
d'écriture (classique, moderne…), ou encore le souci de la véracité dans
les romans historiques jeunesse.

En plus de cela, on trouvera une liste impressionnante de sites
d'écrivains  et des ressources diverses et variées qui émaillent les
articles (liens vers des  sites de séries jeunesse, des conférences
en ligne...), des « trucs et astuces » de Doc pour aimer et faire
aimer la lecture, des bibliographies...

Si la mise en page gagnerait à être un peu plus claire et lisible, le côté
bric-à-brac (où on flâne volontiers de longs moments) perdrait de son
charme...

Par un prof-doc amoureux et défenseur acharné de la littérature
jeunesse.
"

 

Rubriques

CULTURE au CDI de Gannat

Collège de Gannat (03)

" Fête de la culture, de la lecture et de l'écriture"

  Mai 2013 - 4ème édition

Eric Boisset 

Mai 2013 145

ArthuArthur Ténor 024r Ténor

Alain Surget 

Alain Surget 053

 

Mai 2012 - 3ème édition

 Jean-Luc Marcastel

jean-luc-MARCASTEL-010.jpg

Brigitte Coppin 

      Brigitte-Coppin-013.jpg

 

Mai 2011 - 2ème édition

Philippe Barbeau, Christian Couty

juindécembre2010 236

Béatrice Nicodème

 

juindecembre2010-245.jpg

 

Juin 2010 - la 1ère édition :

 

Alain GROUSSETet Christian GRENIERétaient parmi nous pour évoquer la Science-Fiction (SF) etpour débattre des nouvelles technologiesqui pourraient "tuer » les livres...

 Enfants 1 196

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Le nouveau spectacle du collège

Joseph Hennequin de Gannat, dans l’Allier.

 

 

La troupe de théâtre du collège Hennequin, composée cette année de 30 comédiens issus des quatre niveaux de classes, a réalisé un film (un vrai ! en noir et blanc)écrit par Christophe Boutier, professeur documentaliste, « Le temps du maquis» (vendredi 14 juin 2013, centre socio culturel de Gannat). Xavier Bélanger, professeur d’Education musicale, assurera la mise en musique.

Ce film présente la dure réalité de la vie quotidienne et clandestine, au milieu de la forêt,d’hommes et de femmes – les maquisards - remarquablement courageux qui recoururent, au péril de leur vie, à la guérilla pour s’attaquer à la milice du Maréchal Pétain et aux troupes d’occupation allemande.

Ce spectacle entre dans le cadre du projet « Devoir de mémoire », une option du collège menée en classe de 3ème. Les 16 élèves de cette option dirigée par M. Bellet, professeur d'Histoire, présenteront la soirée :

En 1ère partie, un court métrage : Roger VENUAT, résistant dans le maquis de Hérisson (Allier, 03), au collège Joseph Hennequin.

En 2ème partie, la pièce de théâtre, « Le temps du maquis »

ENTREE GRATUITE

  

QUI SUIS-JE ?

Je suis Christophe BOUTIER, professeur documentaliste au collège de Gannat (1 rue Joseph Hennequin. 03800 GANNAT) , dans l’Allier, en Auvergne.

Passionné par la littérature jeunesse, l'écriture, la lecture... j'ai découvert, grâce à ma profession cette littérature - une vraie littérature ! - qui comporte de magnifiques textes. Et derrière des mots adressés, peut-être davantage aux enfants, aux adolescents - quoi qu'un bon texte doit pouvoir être lu par tous sans aucune histoire d'âge ! - se cachent des écrivains adorables, des personnes d'une incroyable richesse humaine, intellectuelle et culturelle, des gens de talent que j'ai/j'ai eu la chance pour certains de côtoyer !

Aujourd'hui, j'éprouve le besoin de partager mon amour des auteurs jeunesse et de leur oeuvre ! je compte également sur vous lecteurs pour faire vivre ce blog, mutualiser nos expériences, nos connaissances, nos réflexions et... débattre.

 
Mon autre BLOG, celui du CDI du collège de GANNAT :
http://www.cdi.gannat.over-blog.com